JEUDI 4 SEPTEMBRE 2008

Mon peuple bien-aimé,

Une douce brise caresse la terre en ces temps apocalyptiques que vous vivez. C'est la brise qui réveille les cœurs scellés, les âmes en sommeil, qui caresse les esprits perturbés. Tout se réveille dans la douceur d'un matin de printemps.
Rien ne laissait prévoir cette résurrection! Vous dormiez profondé­ment et voilà qu'en vous réveillant à l'aube, vous avez perçu, en tout votre être, un bouleversement très tendre. Vous avez poussé les per­siennes et n'avez pas cru au spectacle qui s'offrait à votre regard blasé.
L'herbe humide avait poussé dans la nuit, l'arbre s'était paré de nouveaux bourgeons pour fêter l'arrivée du printemps.
y pensez-vous, Mes petits enfants, à cette aube nouvelle qui vien­dra anéantir les paroles vaines, les rires trompeurs, les pensées hai­neuses ou vengeresses, les gestes violents ou criminels?
Le Souffle purificateur du Vent de l'Esprit a balayé les nuages de terreur amoncelés dans un ciel bas et lourd.
Le Souffle régénérateur du Saint-Esprit a lavé les nations souillées, les peuples guerriers, les terres malades.
Le Souffle de résurrection de l'Esprit d'Amour a communiqué à vos âmes le zèle ardent pour servir les pauvres, les oubliés, les oppri­més, les malades.
Oui Je visite Mon peuple choisi, Je le réveille, Je le porte, je le
réconforte, Je le bénis.
Il s'ouvre au souffle d'en-haut.
Il lève les yeux vers Celui qui l'appelle.
Il couronne Ma tête divine d'or fin et de pierres précieuses.
Je Me manifeste à lui chaque jour davantage et il Me glorifie sans fin !
JE SUIS LE MESSIE