Vendredi 21 septembre 2001
O mon Peuple !
Que t'ai-je fait ? Pourquoi me persécute-tu ?
La désobéissance à ma loi d'amour engendre toujours le malheur. Tu abandonnes mes préceptes, avec grande désinvolture, ton orgueil démesuré est la racine de tous tes maux. Viens et dépose à mes pieds ton lourd fardeau qui t'emprisonne et t'empêche d'avancer dans la voie de mes commandements.
Non, ils ne savent pas ce qu'ils font, ceux qui s'éloignent de ma Face pour servir le Veau d'or, tous ces Lazare frappant à votre porte, ceux qui assassinent l'innocent, l'étranger et le vieillard qui dérange. Ma grande colère ! Vous avez voulu étouffer mes appels à la conversion pas vos chants sataniques et votre débauche démesurée. Pensez-vous que Je sois mort au Golgotha pour que mes enfants se perdent ? Que Je sois sorti vainqueur du tombeau pour que la mort les engloutisse ?
Je suis un Dieu d'amour et la haine nous divise. Ne m'accuser pas des malheurs qui vous frappent. Faut-il que le froid, la faim, la destruction vous accablent pour que vous reveniez à Moi ?
Il n'est plus temps de rêver et de jouer, de courir après des chimères : agenouillez-vous et implorez ma Miséricorde !
Mon Peuple, un seul élan d'amour vers Moi, ton Sauveur, Me touche profondément, Un cœur compatissant ouvre des torrents de bénédiction.
Le Mal ne vaincra pas car mon Esprit-Saint est présent, pour chasser les ténèbres, avec une force inouïe et ressusciter la terre entière.
Amen.
Je suis la résurrection et la Vie.